Chant : René Douniaux dit Nounours "Six Bémols" "les Déserteurs" "Lu Dés" "Guy Houzet" "En Voiture Simone" "Magazine 60" "Remember Sixties" "Martine et Nounours" "Water Cats"

Chef d’orchestre : Bernard Debruille "Les Sagittaires" "Franck Marcy" "En voiture Simone" "Les Rois Fénéants"

Batterie : EricWastrelin "En Voiture Simone"

Basse, Accordéon : Guy Wastrelin "En Voiture Simone"

Christophe Lerouge "Mac Jekyll" "Sam l'Embryon" "Guy Houzet" "Patrick Thuillier" "Love and music"

Chant : Jean Paul Molinié "Processus" "Soleil Noir" "Les Rois Fénéants" "Angelo Gianni" "Just for fun"

Farandole Bruxelloise

*

Agadou
El Toro
Vive Les Saints
Victor Le Footbaliste
Cow Boy Joe
Toen Ik Laasts
Oh Jo Jo
Il Fait Chaud
On A Le Beguin Pour Celestin
Schutlz
Le Bal Tyrolien

*

Si te caches après (R Douniaux - J Plancq)

3, 4, 5, 6 verres (C Lerouge - J Plancq)

Les Joyeux fétards

Eun Goutt' Ed Jus
Ratatchu Bochu
Leve Tin Verre - Ch'Est Un P'tit Arrosoir
Quand Les Zoziaux
L' Quiquette In Bos
La Danse Des Canards
Quind Les Inglaisses
L' Musique A Papa
3-4-5-6 Verres
Cheull Pipe Et Cheull Femme

Vive les Berloqueux / Ar'mettez un verre etc...

Ar' Mettez Un Verre
El' Sermon D' Super Moine
3...4...5...6...Verres
L'Herisson D' Ginette
Les Cloches De Corneville
Si Te Cache Apres
Un Verre De Ouadabada
L' Petite Brouette
L' Curé D' Chez Nous

*

Perds Pas L' Nord
Charlot L' Bochu
Eul Fill' Ed' Saintghin
Quand Ma Mer Monte
In Y Va Qu' Pour Cha
Le P'tit Quinquin
L' Carette A Quiens
Elle S'Appelle Françoise
Eul' Grande Berlouse
Rosalie Babache

*

01. Jean Petit
02. Choucroute pizza frites paëlla cassoulet
03. Hey baby
04. De gauche à droite
05. La matou à ma belle-mère
06. Nous ne sortirons qu'au printemps
07. J'aime le son de la pompe à bière
08. Le président a déclaré
09. On a toujours dans le coeur une chanson d'amour
10. Une petite chanson
11. Viva el mèmè
12. La notte di Roma

La nuit le jour en descendant sous terre
Souvent on perdait la notion du temps
La lampe au front bien fragile lumière
Le torse nu toujours le cœur ardent
Ils travaillaient dans le bruit la poussière
Afin de faire vivre leurs enfants

Bien que ne parlant pas le même langage
Ces hommes fiers toujours se comprenaient
Sans se soucier d’en savoir d’avantage
Sur le pays où un jour ils sont nés
Leur peau à tous était de couleur noire
Comme le charbon qu’au jour ils remontaient

REFRAIN
Si les terrils pouvaient un jour parler
Ils conteraient de bien belles histoires
Celles du temps où le bassin minier
Donnait du pain à toutes ses gueules noires
Qui chaque jour au fond se retrouvaient
Fort et vaillant faisant leur dur métier
Si les terrils pouvaient un jour parler
Voilà sans doute ce qu’ils nous racont’raient

Dans les corons on guettait les sirènes
Qui annonçaient souvent de grands malheurs
Certains laissaient leurs familles dans la peine
Perdant la vie au dur champ de labeur
Mais il fallait que le travail reprenne
C’était la loi de la vie des mineurs

Mais aujourd’hui c’est bien fini la mine
Ce n’est plus qu’un grand et beau souvenir
Près des terrils dans le vent on devine
Des voix venues de très loin pour nous dire
Que le charbon c’est toutes nos racine